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Joseph Joffre Maréchal de France.
ANCIENS - COMBATTANTS. :: Votre 1ère catégorie :: votre premier Forum :: Les vainqueurs de la 1er guerre mondiale 1914/1918 et à Verdun .
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Joseph Joffre Maréchal de France.
FRANCE
Joseph JOFFRE
Maréchal de FRANCE né à RIVESALTES.
Maréchal de FRANCE né à RIVESALTES.
Joseph JOFFRE
Joseph JOFFRE
Maréchal de FRANCE
Maréchal de FRANCE
Joseph JOFFRE est né à RIVESALTES le 12 janvier 1852 de Gilles JOFFRE, tonnelier, et Catherine PLAS.
Il intègre l'école polytechnique et en sort lieutenant en 1874. Intégré dans le génie, il est tout d'abord placé à Versailles et y participe à la reconstruction de l’enceinte fortifiée de Paris.
Marié tôt et veuf tout aussi tôt, il part alors en Extrême-Orient où la France s'étends. Il participe en 1885 à la fortification de la ville de Keelung à Formose (actuel Taïwan), puis il se rend au Tonkin pour organiser sa défense en tant que chef du génie à Hanoï.
Il fait un bref retour en France pour dispenser des cours de fortification à l’école d’application de Fontainebleau. Il repart rapidement au Soudan où il conduira la construction du chemin de fer de Kayes à Bamako, puis il reçoit le commandement de la région nord-ouest. Il force Tombouctou en 1894 et organise le pays en dépit de l’hostilité du gouverneur. En 1900 il se rend à Madagascar où il crée le camp retranché de Diégo-Suarez. Général de brigade en 1902, ensuite directeur du Génie à Paris, il reçoit sa troisième étoile en 1905. En 1910, il devient vice-président du Conseil supérieur de la guerre. La même année, la réorganisation du haut commandement fait de lui, avec le titre de chef d’état-major général, le chef incontesté de l’armée française.
En 1914 alors que la guerre éclate il tente de contenir l'armée allemande qui déferle sur le territoire national. Face à l'impossibilité d'acheminer rapidement les réservistes sur le front, il fait réquisitionner des milliers de taxis pour pallier la déficience des trains. C'est la bataille de la Marne qui verra l'arrêt de la progression allemande.
Il intègre l'école polytechnique et en sort lieutenant en 1874. Intégré dans le génie, il est tout d'abord placé à Versailles et y participe à la reconstruction de l’enceinte fortifiée de Paris.
Marié tôt et veuf tout aussi tôt, il part alors en Extrême-Orient où la France s'étends. Il participe en 1885 à la fortification de la ville de Keelung à Formose (actuel Taïwan), puis il se rend au Tonkin pour organiser sa défense en tant que chef du génie à Hanoï.
Il fait un bref retour en France pour dispenser des cours de fortification à l’école d’application de Fontainebleau. Il repart rapidement au Soudan où il conduira la construction du chemin de fer de Kayes à Bamako, puis il reçoit le commandement de la région nord-ouest. Il force Tombouctou en 1894 et organise le pays en dépit de l’hostilité du gouverneur. En 1900 il se rend à Madagascar où il crée le camp retranché de Diégo-Suarez. Général de brigade en 1902, ensuite directeur du Génie à Paris, il reçoit sa troisième étoile en 1905. En 1910, il devient vice-président du Conseil supérieur de la guerre. La même année, la réorganisation du haut commandement fait de lui, avec le titre de chef d’état-major général, le chef incontesté de l’armée française.
En 1914 alors que la guerre éclate il tente de contenir l'armée allemande qui déferle sur le territoire national. Face à l'impossibilité d'acheminer rapidement les réservistes sur le front, il fait réquisitionner des milliers de taxis pour pallier la déficience des trains. C'est la bataille de la Marne qui verra l'arrêt de la progression allemande.
Jusqu'en 1916 il se maintient au sommet de l'exécutif militaire, mais son intransigeance lui joue des tours. En décembre 1916 Joffre est remplacé par le général Nivelle, mais élevé en échange au rang de Maréchal le 25 décembre 1916. En 1917, il effectue une mission aux États-Unis pour préparer l’entrée en guerre de ce pays. Le maréchal y reçoit un accueil triomphal.
Après la guerre il rentre en France et se retranche pour rédiger ses mémoires. Il entre alors à l'Académie Française.
Après la guerre il rentre en France et se retranche pour rédiger ses mémoires. Il entre alors à l'Académie Française.
Devant son domicile, à l'annonce de l'armistice en 1918.
Le Maréchal Joffre décède le 5 janvier 1931. Il sera enterré dans le jardin de la châtaigneraie à Louveciennes, dans les Yvelines, après des funérailles nationales.
Au sujet de sa statue, à Rivesaltes...
Avez vous remarqué comme il se dégage un sentiment de sérénité de cette statue ? Mais c'est aussi un sentiment d'attente, dû au fait que le cheval est à l'arrêt, les quatre sabots au sol. Cette posture est une marque des grands hommes n'étant pas mort au combat.
Sur le côté du piédestal, il est mentionné une citation de Joseph Joffre :
Au moment où s'engage une bataille dont dépend le salut du pays il importe de rappeler à tous que le moment n'est plus de regarder en arrière. Tous les efforts doivent être employés à attaquer et refouler l'ennemi.
Une troupe qui ne peut plus avancer devra coûte que coûte garder le terrain conquis et se faire tuer sur place plutôt que de reculer. Dans les circonstances actuelles aucune défaillance ne peut être tolerée.
Au sujet de sa statue, à Rivesaltes...
Avez vous remarqué comme il se dégage un sentiment de sérénité de cette statue ? Mais c'est aussi un sentiment d'attente, dû au fait que le cheval est à l'arrêt, les quatre sabots au sol. Cette posture est une marque des grands hommes n'étant pas mort au combat.
Sur le côté du piédestal, il est mentionné une citation de Joseph Joffre :
Au moment où s'engage une bataille dont dépend le salut du pays il importe de rappeler à tous que le moment n'est plus de regarder en arrière. Tous les efforts doivent être employés à attaquer et refouler l'ennemi.
Une troupe qui ne peut plus avancer devra coûte que coûte garder le terrain conquis et se faire tuer sur place plutôt que de reculer. Dans les circonstances actuelles aucune défaillance ne peut être tolerée.
Le tombeau de Joffre à Louveciennes.
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